QUESTIONS
Patronymes
Q/AF/16/01 - Recherche sur le garde-mobile François Marie CORRE
Où trouver des rens. sur un
garde mobile dont la fiche matricule pas très lisible (ci-dessous) indique :
Voir liste N°1298 ?
CORRE François Marie (sosa 14) ° 30/04/1850 à Plouenan (29),
X 19/10/1873 à Taulé (29)
RAVALEC
Catherine (sosa 15)
fs CORRE Jacques (Sosa 28) ° 19/01/1816 à Plouenan (29), + le 28/03/1887 à Taulé (29)
et de CADIOU Anne (Sosa 29) ° 06/07/1818 à Plouenan (29), + le 09/04/1897 à Taulé (29)
Soazick
PROVOT (Adh AF n°68)
Q/AF/16/02- x LEISEING Guillaume et PICARD Anne
Recherche x
ca 1850 Guillaume LEISEING originaire de Wattenheim (° ca 1823) en Bavière
(Allemagne) et Anne PICARD originaire de Breidenbach (° ca 1823) en Lorraine
(57). Tous les deux sont décédés à Saint-Éloy-de-Gy dans le Cher (18).
Trois
enfants sont nés de cette union : Thomas en 1849 à Fouchères (10), Jacob
en 1852 à Fromental (87), et Marie en 1859 à Fourchambault (58).
Régis LIGONNET (Adh AF n°21)
Q/A/16/03 – OBERFELL
(Schenkenzell)
Je
recherche à Schenkenzell dans le Bade-Wurtemberg (diocèse de Strasbourg
au 18e siècle) :
* le baptême de Joseph
OBERFELL né vers 1747 fils de Sébastien OBERFELL et d'Anna Maria HERMENNIN
(HEUMENNIN) ;
* les sépultures de
Sébastien OBERFELL et d'Anna Maria HERMENNIN (HEUMENNIN) décédés avant 1779 ;
Le mariage de Sébastien
OBERFELL et d'Anna Maria HERMENNIN.
Avec mes remerciements
Philippe DURETTE (Adh. : A 701
(FP)
Divers
Q/AF/16/04 - Accident sur la ligne Paris – Bâle au lieu-dit "le
bois de l'île" en 1912
Mon
arrière-grand-père Victor DESHAYES était scieur de long dans une scierie. Suite
à un accident de travail, il perd son bras droit et son travail. Ne supportant
cette situation, il se suicide en se jetant sous un train le 26 juillet 1912.
Je suis à la rech. d’informations sur l’accident qui a eu lieu sur la ligne
Paris – Bâle au lieu-dit "le bois de l'île" entre Nangis et Rampillon
en Seine et Marne (77). N’ayant rien trouvé dans la presse de l’époque, je
voudrai savoir si les accidents survenus sur les lignes ferroviaires en 1912 étaient
consignés et archivés ?
Thierry
BREUGNOT (Adh AF n°96)
Q/A/16/05 – Accident de travail : Mathurin NICOLAS
Je m’adresse à vous à la suite d’une rech.
demeurée infructueuse auprès des archives de SNCF à Béziers.
Je rech. en effet des informations (carrière et
circonstances du +) sur mon grand père Mathurin NICOLAS, ancien cheminot,
décédé d’un accident du travail sur les voies en région parisienne le 1er juin 1924. Il était né à Inguiniel dans le Morbihan et
habitait à Plouay.
Je ne sais pas si vous pourrez m’aider mais vous
remercie par avance de l’attention que vous porterez à ma demande.
Alain MARTIN
(Adh. : A 999)
Q/A/16/06 – Cautionnement d’un employé des Chemins de fer
Le 26 mai 1889, par
devant le notaire de Teyssieu (Lot), Guillaume Moussinac, propriétaire
cultivateur, se porte volontaire de la caution solidaire de 1000 francs
demandée à son frère Jean Moussinac, employé comme chef de gare à
St-Vaast-la-Hougue par la Cie des Chemins de fer départementaux (CFD), en vertu
des règlements et statuts de la Cie, « voulant ainsi assurer à son frère
la position qu’il occupe actuellement ou tout autre plus avantageuse qu’il
pourra obtenir dans les chemins de fer de cette compagnie »
« En sûreté et
garantie de ce cautionnement Guillaume Moussinac hypothèque tous les biens
immeubles qu’il possède dans sa commune de Teyssieu. »
En référence à l’acte
notarié résumé ci-dessus, et de manière plus générale dans les grandes
compagnies et autres comme les CFD, que sait-on de ces cautions exigées de
certaines catégories d’agents : quels grades étaient astreints à cette
caution ? Tous les chefs de gare et employés de gare en charge de
fonds ? La caution était indexée sur le grade, le montant moyen de la
caisse gérée ? N’a-t-elle pas constitué un barrage dans l’ascension des agents
les moins fortunés ?
Je serais preneur d’une copie de ces règlements traitant de la
question, aux CFD en particulier.
Georges
RIBEILL (Adh. : A 608)
Q/E/16/07 – Détective n°1491 –
du 6 mars 1975
La fille
d’Anne MOREAU de Brienon sur Armançon a été assassinée en 1975.
Elle
s’appelait Viviane BEAUFILS et avait 25 ans.
Je rech. la revue DETECTIVE dans
laquelle figurent les « articles relatant des
affaires criminelles dans les communes suivantes : EPINIAC Ille et Vilaine 2
pages // ARTHON Indre
1,5 p. // LOUBERSENAC Ariège 2 p.
// LOUVROIL 1,5 p. / »
A défaut de cette revue, la copie
des pages concernant l’assassinat à Loubersenac commune de Lescure dans
l’Ariège, me conviendrait.
Jocelyne
NICHELE (Adh E 183)
Q/A/16/08 – Généalogie d’une
moto DKW 35N
Votre nom m’a été donné
par le Service Relations Clientèle Transilien, SNCF et j'espère que vous pouvez
aider dans mes rech.
J'ai une vieille moto et
je fais des rech. sur son histoire. Sur la carte grise, le premier titulaire
fut en 1950 d'une M. Clotaire LEGRAND, profession : Garde Appariteur à
Vermand (Picardy) Était-il un employé de la SNCF ?
Est-il possible que M.
Legrand ou sa famille habite toujours à Vermand [Aisne] ou à proximité ?
Je l'ai achetée en août
dernier d'un homme en Normandie, qui avait été le propriétaire pendant 20 ans,
et j'ai fait des rech. sur son histoire.
C'est une Allemande DKW
350 NZ, construite en 1939. Je pense que le side-car est un ajout
d'après-guerre, peut-être de l'entreprise française de " précision ".
Je suppose que la moto a
été abandonnée par l'armée allemande après sa retraite de la région de Picardie
en août ou septembre 1944. Puis, éventuellement,
stockée par M.Legrand ou sa famille, comme c'est son premier enregistrement
français.
Comme vous pouvez le
voir le vélo est très complet, et je vais la restaurer pour l’utiliser en 2016.
J'espère que je peux revenir en Normandie en juin ! Je serai très reconnaissant
pour toute aide.
Christopher
HARRIS, Southampton SO30 2EF
(Adh. : A 999)
Q/AF/16/09 - Paroisse St Maurice en Agenois
Dans l’acte de X de Jean ALARI et Barbe
POINCIGNON le 25 janvier 1706 à Hayes en Moselle (57), il est précisé que les
parents de l’époux sont originaires de la paroisse St Maurice en Agenois. Je
suppose qu’elle se situe près d'Agen dans le Lot et Garonne (47). Dans les
Archives numérisées du 47, j'ai trouvé les communes de St Maurice de Lestapel,
plusieurs St Martin et la commune de St Maurin où l’on trouve le patronyme
ALARI ou ALARY, mais pas de Jean ALARI fils de Jean et Marguerite mariés vers
1680.
Est-ce une commune dont l'église Saint-Maurice
n'existe plus aujourd'hui ?
Pierre GEYER (Adh AF
n°136)
RÉPONSES
Rép à la Q/A/11/029/ –
HOULNÉ [Nancy]
J'établis depuis 25 ans un arbre généalogique
mondial de tous les HULNÉ du monde.....
C'est un nom monophylétique retrouvé en alsace
au 16ème siècle dont les noms HOULNÉ et HULNET découlent. Ts ces gens sont donc
de la même souche depuis 6 siècles. Je recense plus de 1 200 porteurs du
nom (plus grosse base mondiale du nom.)
Pour ce qui est de votre Robert HOULNÉ, il est
l’un de ceux dont je n'ai pas encore les origines certifiées ! (faute de visite
sur les registres) .... Mais ça viendra !
Mais .... ! Je suis pratiquement sûr .... à 50%
(deux fois) car : Robert pourrait être le fils de :
1 - Joseph HOULNÉ, né le 2 février
1849 à Steige (Bas-Rhin) (employé de chemin de fer), marié à LEBOUBE Marie
Angélique, née le 27/01/1856 à Colroy-la-Roche (Bas-Rhin).
Ce couple a eu un enfant né à Nancy en 1883
(Joseph Jules Maurice) - (je pense le frère de Robert) Ce couple a habité
Nancy.
2 - Jules HOULNÉ, né le 22/04/1852 à Steige
(Bas-Rhin), mécanicien des chemins de fer de l'Est à Nancy en 1912, marié à
Virginie HEISSAT, née le 17/11/1861 à Steige (pas d'enfant recensé pour le
moment). Voila de mon coté, tout ce que je peux vous dire pour le moment.
Étienne HULNÉ
Depuis ce courrier, nous
savons grâce à sa fiche matricule n° 695 du bureau de Nancy-Toul, classe 1914,
accessible par les archives en ligne de la Meurthe-et-Moselle que Robert HULNÉ
est né le 30/05/1894 à Nancy, fils de Jules HULNÉ et de Virginie HAISSAT, alors
étudiant à l’Institut Electro Technique de Nancy.
Henri DROPSY (Adh. : A 81)
Rép à la Q/A/15/14 - Correspondant du chemin de fer
Entrepreneur ayant signé un traité de correspondance avec
une compagnie de chemin de fer pour assumer une partie du cahier des charges
imposé lors de l’accord de concession par l’État.
Les entreprises de voitures destinées au transport des
voyageurs en provenance ou à destination des localités situées au-delà des
stations des chemins de fer peuvent être liées par un traité de correspondance
avec la compagnie de chemin de fer. Ces traités sont ordinairement communiqués
à l’administration. La compagnie et ses correspondants liés par un traité ont
une solidarité de service.
En vertus des cahiers des charges, les compagnies sont
tenues d’assurer le transport des marchandises à l’arrivée des villes jusqu’au
domicile du destinataire à l’intérieur de l’enceinte d’octroi ou à moins de
5 km de la gare. L’enlèvement des colis à domicile est facultatif, mais
les compagnies avaient intérêt à l’organiser.
Le service prend le nom de factage pour les colis
transportés en grande vitesse et de camionnage pour les marchandises
expédiées en petite vitesse.
(Réponse rédigée d’après l’Abrégé de la législation des
chemins de fer et tramways de C. Colson, 1903 et du Dictionnaire législatif et
réglementaire des chemins de fer de G. Palaa, 1864))
Maison DEBS, camionnage et factage,
correspondant des chemins de fer de l’Est à Nogent-sur-Marne
Henri DROPSY
(Adh. : A 81)
RÉMERCIEMENTS
Les remerciements de l’U.C.G.E. s’adressent à messieurs
Etienne HULNÉ et Henri DROPSY ainsi qu’à toutes les personnes qui continuent à
m’adresser des questions et des réponses afin que cette rubrique ne disparaisse pas
!
Jocelyne NICHELE (Adh. E 183)