Généalogie-Rail N° 109
QUESTIONS
/ RÉPONSES DU 3ème TRIMESTRE 2012
Q/A/12/22. – BOYER [Échouboullains - Balloy
(Seine-et-Marne)]
Rech. des
informations sur Fernand Marcel BOYER, habitant Échouboulains (Seine-et-Marne),
né à Balloy
(Seine-et-Marne) le 16 février 1877. Il est arrêté en décembre 1941. Toute
trace
ensuite perdue.
Inscrit comme déporté sur le monument aux morts d’Échouboulains.
Danielle
BULLOT (Adh. : A 999)
Q/A/12/23. – GIÉ [Saint-Florent-sur-Cher
(Cher)]
Rech. lieu et
date de décès de Pierre Auguste GIÉ, né le 15/11/1840 à Saint-Florent-sur-Cher
(Cher). Il
était conducteur, encore en 1891. Je pense sur les lignes : Vierzon-Tours ou
Vierzon-Paris.
Un de ses
enfants, Auguste GIÉ, né le 01/02/1864 à Saint-Florent-sur-Cher (Cher), décédé
le
16/03/1942 à
Montbazon (Indre-et-Loire) était ajusteur à la SNCF.
Monique BRUNEAU (Adh. : A.999)
Q/A/12/24. – JACQUELIN [Château Gontier
(Mayenne) & Varades
(Loire-Atlantique)]
Recherche
renseignements sur Michel JACQUELIN, né vers 1744, Marié avant 1787 en
premières noces
avec BOIZARD Jeanne.
En 2èmes noces : marié
avant 1788 avec Jeanne JOUNAY à l'église de Saint-Rémi de
Château-Gontier
(Mayenne).
Et en 3èmes noces : marié
le 14/09/ 1790 à Varades (Loire-Atlantique) avec Julienne MOUTEIL.
Jean Marie MOTEL (Adh. : A. 254)
Q/AF/12/25. – LE MESMEUR X
LE DUFF (29)
Rech x et asc.
de François LE MESMEUR x Marguerite LE DUFF à Trézilédé (29) Canton de
Plouzévédé.
Elle + le 11/01/1734 âgée env. 40 ans dont 6 enfants nés entre 1721 et 1733.
Ses
pères et mère
seraient Louis Le DUFF et Jeanne CROC (CROCQ).
François Le
MESMEUR se remarie à Plouzévédé (29) le 02/08/1735 avec Jane OLIER. Sur
l'acte il est
dit qu’il est ° à Tréflaouénan (canton de Plouzévédé), fs de Laurens LE MESMEUR
et de (†)
Jeanne TANGUY, veuf de Marguerite Le DUFF.
De ce 2ème X
sont nés 7 enfants. François Le MESMEUR est † après 1757 où et quand ?
Qui pourrait
m'aider à remonter ces 2 branches LE MESMEUR / LE DUFF ? Merci par avance.
Soazick
PROVOT (Adh AF n°68)
Q/A/12/26. – DUPARCHY [Isère,
Alpes-de-Haute-Provence]
Pourriez-vous
m'aider à reconstituer la carrière de mon Grand-père ?
Voici les éléments dont je
dispose. Mon grand-père, Désiré DUPARCHY, est né le 10 janvier 1885 à Grenoble
(Isère). Il s'est marié le 11 janvier 1913 à Sisteron
(Alpes-de-Haute-Provence).
Il est décédé le 15 octobre
1955 à Sisteron. Il était le fils de François Jacques Marius
DUPARCHY et d’Eugénie Suzanne
Pauline FAGOT. En 1913, il était employé au PLM. Il est ensuite passé par
Moirans (Isère), Saint-Marcel-lès-Valence (Drôme) et enfin Château-Arnoux
(Alpes-de-Haute-Provence). Du 02/08/1914 au 01/04/1919, il a été maintenu dans
son emploi du temps de paix.
J'aimerai connaitre donc les
différents lieux ou il a été en poste ainsi que les dates
correspondantes et les
fonctions qu'il a exercées.
Je possède également une photo
mais je ne sais rien sur celle-ci, ni le lieu, ni la date. Toutefois je
pourrais vous la communiquer.
Mon père, Maxime DUPARCHY, a
également été employé du chemin de fer.
Merci pour votre aide.
Bernard DUPARCHY (Adh. : A999)
Q/A/12/27. – Listes réfugiés espagnols
Je suis à la
recherche d’un site, d’une association, … fiable qui puisse fournir des listes
de
réfugiés
espagnols ayant transité dans les camps d’internement français lors de l’exode
de
1939 (Argelès,
Cuers, etc …). Plus tard, certains d’entre eux ont été affectés à des travaux
d’intérêts
généraux.
Mon père, par
exemple, a été bûcheron dans la région de Bourg St Maurice.
Est-il possible
que cette mairie ait pu garder des traces de ce passage ?
Manuel
CALVO (Adh AF n°128)
Q/A/12/28. – Employé au
chemin de fer du nord
Mon
arrière-grand-père Alfred Louis JUSTIN ° 05/008/1866 à Boulogne (62) a accompli
son
service
militaire au 145ème R.I. du 15/11/1887 au 28/09/1890 (3 ans). Sa fiche matricule N°45
indique qu’il a
effectué l’année suivante une période militaire du 27/06 au 21/07/1891. Il est
indiqué : « A reçu une
affectation spéciale comme employé au chemin de fer du nord. »
Existe-t-il des
traces écrites aux archives de la SNCF de ce passage, et pourquoi cette
affection
était si «
spéciale » ?.
Philippe Fournier (Adh AF n°122)
Q/A/12/29. – Procureur d'office de
chancelier ?
Recherche des
précisions sur le rôle attribué à un "procureur d'office de
chancelier" qui
figure sur
l'acte de décès de mon ancêtre Étienne SIBEAUD, en 1741 à Saint-Allyre, dans le
Puy-de-Dôme?
Josette Gallois (Adh A 455)
Rép à la Q : A/12/22. – BOYER [Échouboullains -
Balloy (Seine-et-Marne)]
A toutes fins
utiles, Fernand BOYER figure dans les recensements du canton du Bray sur Seine
à Balloy :
http://www.archinoe.fr/cg77/visualiseur/visu_affiche.php?
PHPSID=880e4ef29c287fae07531844ba582a97¶m=visu_2&page=1#
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En 1881, il
avait 4 ans, habitait avec ses parents : Eugène BOYER, 43 ans, manouvrier, et
Iphigénie BLIN,
33 ans et ses frères Firmin Désiré, âgé de 12 ans, Paul 9 ans et sa soeur Claire
Eugénie âgée de
2 ans, Grande rue à Balloy.
http://www.archinoe.fr/cg77/visualiseur/visu_affiche.php?
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En 1886 il
avait 7 ans, il habitait avec ses parents : Eugène BOYER, 47 ans, manouvrier et
Iphigénie BLIN,
38 ans et ses frères Albert, âgé de 18 ans, manouvrier, Paul 13 ans et sa soeur
Claire âgée de
6 ans, Grande rue à Balloy.
http://www.archinoe.fr/cg77/visualiseur/visu_affiche.php?
PHPSID=880e4ef29c287fae07531844ba582a97¶m=visu_5&page=1
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En 1891 il
avait 14 ans, il habitait avec ses parents : Eugène BOYER, 52 ans, manouvrier
et
Iphigénie BLIN,
42 ans, couturière et sa soeur Claire âgée de 11ans, Grande rue à Balloy.
http://www.archinoe.fr/cg77/visualiseur/visu_affiche.php?
PHPSID=880e4ef29c287fae07531844ba582a97¶m=visu_9&page=1#
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Je le retrouve
en 1911, dans les recensements du canton du Châtelet, à Echouboulains. Il était
chef de famille
domicilié à Echou, manouvrier chez Deutsch, né en 1877 à Balloy, avec
Admédérine
LANOUE sa femme, née en 1881 à Echouboulains [mariés le 20.06.1903 à
Echouboulains],
leurs enfants : Fernande BOYER ° 1905, Pauline ° 1907, Armantine ° 1908 et
Fernand ° 1909,
nés à Echouboulains.
Jocelyne NICHELE (adh E 184)
Rép à la Q : A/12/15 - Doubles noms
Je reprends la
réponse d’AREDES à une question similaire.
La
particularité des patronymes savoyards est d’être, dans près d’un cas sur
trois, composé
d’un double
nom.
Prenons
l’exemple de Claude FAVRE COLLIET qui vit à Chambéry de 1662 à 1713. La
pratique
des registres
et des dénombrements chambériens met vite en évidence le fait que Claude
FAVRE COLLIET
apparaît tantôt sous son double nom, tantôt sous le nom de Claude FAVRE,
ou bien sous
celui de Claude COLLIET.
Simultanément,
vivent aussi Claude FAVRE THOREN et Claude FAVRE REGLAZ qui côtoient
plusieurs
Claude FAVRE (sans deuxième nom).
Il arrive que
cette prolifération d’homonymes rende les identifications et les
reconstitutions des
familles
hasardeuses, voire impossibles si l’épouse et mère des enfants porte elle aussi
un
double nom. Ces
dangers de confusions entre individus se doublent des risques d’erreur de
générations, le
port d’un même prénom dans les lignages étant la règle, soit de père en fils,
mais aussi
d’oncle à neveu, le tout explicable par les parrainages et marrainages.
Sans
disparaître totalement, les redoutables écueils du double nom s’atténuent au
milieu du
XVIIIe siècle,
les curés et l’administration optant en général pour le deuxième nom (Claude
FAVRE COLLIET
devenant définitivement Claude COLLIET).
Des exemples :
BERLIOZ-LATOUR, BOZON-VERDURAZ (Aviateur, Pâtes La Lune, Biscuits
Brun, ..),
BIZEL-BIZELLOT, DIDIER-PATRON, FANTIN-LATOUR (Peintre),
HUSTACHE-MATHIEU, MASSON-SIBERT, PAVIET-GERMANOZ, …
Henri DROPSY (Adh. : A 081) et Jean-Pierre DUBRULLE (AREDES)
Rép à la Q : A/12/26. - DUPARCHY [Isère,
Alpes-de-Haute-Provence]
Pour votre
grand-père Désiré DUPARCHY, employé des chemins de fer du PLM puis de la
SNCF, il vous
faudra faire une demande d'existence de dossier avant de vous déplacer au
Centre
d'Archives Multirégional de Béziers. Rue du Lieutenant Pasquet (ancienne cour
SERNAM) 34500 BÉZIERS (archives.beziers@sncf.fr). Dans votre
demande, vous voudrez
bien indiquer
sa date de décès ainsi que celle de son épouse. Vous voudrez bien justifier
votre
lien familial
dans votre courrier. Demandez également une copie de ses états de service.
Tout ce que je
puis dire pour le locotracteur : Locotracteur PLM 060 DA 2 Locotracteur Berliet
Diesel 60 cv
construit à 8 exemplaires entre 1936 et 1938. Il sera renuméroté SNCF en 1948
YBE 06002.
Localisation de
photo ? A la vue de l'horizon, en pays de montagne. Inscription du wagon
Illisible. Je
n'en puis dire plus
Henri DROPSY
(Adh. : A 081)
Rép à la Q : Y/12/12. - Jungingen ( Würtemberg)
Juningen au
Würtemberg, au sud de Reutlingen et de Stuttgart (D-72417). Arrondissement
rural :
Zollernalbkreis.
M. Bodo FORCH
conseille de contacter directement Monsieur le Prof. Dr. Burkhardt OERTEL,
Brunhildenstrasse.4
b, 85579 Neubiberg (bei München), professeur émérite de la faculté de
médecine de
l’université de Heidelberg et « grande capacité généalogique » pour cette
région.
Il est déjà
averti d’un possible courrier de Mme PAILLEUX.
Gerhard
H. WAGNER et Bodo FORCH (Adh. : GFW/BSW )
Rép à la Q : A/12/21 - Saint-Pierre-Quilbignon
(Finistère)
La bonne
question n’est pas à se demander pourquoi Louis COROLLEUR est décédé à Brest
alors qu’il
habitait Sceaux, mais pourquoi Louis COROLLEUR travaillait à Sceaux alors qu’il
était natif de
Saint-Pierre-Quilbignon (Brest).
La Compagnie
des Chemins de fer du Paris-Orléans (P.O.), desservait la gare de Sceaux et par
Quimper la gare
de Landerneau (gare la plus proche de Brest pour le P.O.). Pourquoi est-il
décédé à Brest
? C’est à sa famille de nous le dévoiler. Pourquoi habitait-il Sceaux ? Sceaux
était une
résidence de choix pour les employés parisiens du P.O.
Comme employé
du P.O., il vous faudra faire une demande d'existence de dossier avant de
vous déplacer
au Centre d'Archives Multirégional de Béziers. Rue du Lieutenant Pasquet
(ancienne cour
SERNAM) 34500 BÉZIERS (archives.beziers@sncf.fr). Dans votre demande,
vous voudrez
bien indiquer sa date de décès ainsi que celle de son épouse. Les dossiers sont
classés par
ordre de date de décès du dernier survivant du couple.
Henri DROPSY (Adh. : A 081)
Rép à la Q : A/12/10 - SCHILP/HOPP (Welda)
Welda (Prusse)
fait aujourd’hui partie de Warburg (ancienne ville de la ‘Hanse’, à mi chemin
entre Paderborn
et Kassel) code postal D-34414, arrondissement de Höxter en
Nordrhein-Westfalen.
Il existe des informations intéressantes sur Wikipedia-Géographie.
D’après M. Bodo
FORCH, il y a un « nid » du patronyme SCHILP à Germete (également
quartier de
Warburg).
Malheureusement,
il n’existe pas de « livres de familles » de Warburg. Il faut rechercher les
sources
initiales.
Le patronyme
HOPP est d’origine néerlandaises (variantes TENHOP(P). C’est la ville de
Gevelsberg
(D-58285) à une quarantaine de kilomètres au sud de Bochum ou de Dortmund qui
est un ‘nid’
pour ce patronyme. Là encore pas de « livres de familles »
Les livres
paroissiaux pourraient être aux archives de l’état civil (Personenstandsarchiv)
à Brühl
où ils sont en
cours de numérisation.
Gerhard
H. WAGNER et Bodo FORCH (Adh. : GFW/BSW)
Rép à la Q : K/11/18 – Chef de station
de l’état en Belgique (Charles VERGNES)
Suite à la question que j'avais
posé il y a plusieurs mois concernant Charles Vergnes,
chef de station en Belgique,
après confirmation orale d'Henry qui ne pouvait pas me
donner de réponse, j'ai contacté
directement par courrier les archives de la SNCB :
SNCB Archives et Photothèque, SG
123 - Section 80-1, rue de France 85, B - 1060
Bruxelles. La réponse qui m'a
été faite est la suivante : "les dossiers des agents de la
SNCB ne sont conservés que
pendant 15 ans après le décès du dernier ayant-droit. Par
conséquent, vu l'année du décès
nous ne sommes malheureusement plus en mesure
de vous renseigner" (décès
antérieur à la formation de la SNCB).
Cette information pourrait
éventuellement servir à d’autres personnes.
Régine VERGNES (Adh. K)
Rép à la Q : A/10/14 - FEY (Palatinat)
Nous remercions M. Franz-Joseph
MÜLLER pour les réponses apportées suivant les
documents : Gersheimer Einwohnerbuch (Band I) – Werner Verburg –
Einwohner von
Niedergailbach de 1700 – 1900 ; Gersheimer Einwohnerbuch (Band III) –
Helmut Lambert – Utweiler Familien- und Häuserchronik de 1549 – 1950 ;
MEDELSHEIM, Familien und Häuser,
pour les noms FEY et SPRUNCK.
Vu l’importance des documents, il nous est difficile d’en faire l’exposé dans
les questions réponses.
Monique RABATÉ (Adh. A
361)
Les remerciements du trimestre
s’adressent à madame Régine VERGNES, messieurs Henri Dropsy, Jean-Pierre
DUBRULLE, Gerhard H. WAGNER et Bodo FORCH
Jocelyne Nichele