Retour au sommaire
Éditorial
ÉDITORIAL 151
À la proximité de notre AG 2023, c’est le moment de présenter des états des lieux des diverses activités du Cercle. Celles-ci se mesurent non seulement avec le nombre de réunions, le nombre des adhérents, le nombre important de réponses aux courriers et le bilan comptable de 2022, mais aussi par l’évaluation du travail de l’ensemble des adhérents et sympathisants pour développer le fichier des Ancâtres cheminots.
À chaque mise à jour de cette base, nous reportons sur ce graphique les entrées. Nous sommes passés de près de 662 000 fiches en mars 2022, date de notre dernière publication dans le n° 147 de Généalogie-Rail, à plus de 715 000 fiches en fin février 2023.
Remercions les bénévoles qui saisissent ces données. Il y a encore de nombreuses sources à indexer. Les bénévoles sont toujours les bienvenus.
Je confirme mes écrits de l’année dernière à la même époque, nous sommes limités par les évolutions de l’environnement numérique qui déborde largement des compétences d’une petite association culturelle. Ayant eu peu de réponses à notre appel de 2022, concernant notre besoin d’aide de bénévoles ayant de fortes connaissances techniques, informatiques, programmation et réseau, nous allons devoir soit rester à notre niveau de compétence, ce qui serait réellement dommage pour tout le travail fait, soit nous engager dans un plan de développement technique demandant des moyens financiers que nous n’avons pas pour le moment. Un audit est en cours pour pouvoir présenter un dossier de subvention ou d’aide sans franchir les frontières de la marchandisation de nos données.
On parle beaucoup de l’exclusion digitale, mais que fait-on pour modérer ou lutter devant l’emprise du numérique sur les organisations associatives ? Je dois vous annoncer la fermeture de quatre associations de l’Union des cercles généalogiques en entreprises.
L’autre cancer de nos associations est la marchandisation du monde associatif alors qu’il nous est demandé de participer à la réactivation du lien social...... sans moyen.
Henri DROPSY